Archives de catégorie : expositions

expositions produites par Interface à Dijon

simone rueß // Appartement

6 avril  icon-arrow-circle-right 18 mai 2013 

L’idée selon laquelle l’intérieur de nos habitations serait un élément révélateur de notre personnalité est largement plébiscitée. Les éléments de décorations qui le composent, la couleur des murs, la présence ou l’absence de livres sur les étagères, font alors figures d’indices. Simone Rueß aurait plutôt tendance à penser que c’est notre manière d’habiter cette surface qui est source d’informations. Simone Rueß aime à penser l’espace, qu’il soit concret ou abstrait, comme un univers sensible, créateur de sens. Cette manière de concevoir notre environnement spatial est proche de celle prônée par l’architecte Yona Friedman qui envisageait toutes ses créations comme des formes mouvantes, ne pouvant être complètes sans une présence humaine.

frédéric houvert // mise en demeure

9 février  icon-arrow-circle-right  23 mars 2013

Si, chez Frédéric Houvert, les médiums varient (peinture, sculpture, photographie et dessin), l’ornement, lui, reste l’élément central de sa pratique artistique. Les motifs, toujours d’origine végétale, nous rappellent la relation intrinsèque des arts décoratifs et des Beaux-Arts au cours de l’Histoire. Synonymes d’ordre et de perfection de l’Antiquité à la Renaissance, révélateur de la maitrise des matériaux et de la technique de l’artiste, les ornements se plient à une organisation rigide. Si, dans les peintures de l’artiste la puissance esthétisante des motifs est bien présente, la rigueur de la composition, quant à elle, a laissé place à un agencement complexe.

marine caloï, lola drubigny, fanny durand, lisa perrin, joy prundent // Portraits

10  icon-arrow-circle-o-right 26 JANVIER 2013

vernissage jeudi 10 janvier à partir de 18h

Le sujet à mes étudiants fut libellé exactement de la manière suivante, en octobre 2012 : « Pensez à un contexte avec un ou plusieurs personnages, trouvez ou fabriquez à votre façon ce contexte et réalisez un portrait ». Durée pour élaborer un travail : 6 semaines. » Les raisons de ce sujet dans un enseignement consacré au portrait ? Il y a d’abord l’idée d’une fonction sociale de l’art, que le portrait révèle. Et ceci est encore le cas aujourd’hui malgré toute l’histoire de l’art des XIXe et XXe siècles. Elle avait dévalué le genre, souvent pour des raisons idéologiques : le portrait aurait été accaparé par les dominants.

horsd’oeuvre collection // cécile Bart • raphaël Boccanfuso • étienne Bossut • étienne Boulanger • pedro Cabrita Reis • philippe Cazal • marc camille Chaimowicz • claude Closky • gérard Collin-Thiébaut • jordi Colomer • marc Couturier • baptiste Debombourg • wim Delvoye • peter Downsbrough • lise Duclaux • jean Dupuy • éric Duyckaerts • Ernest T. • vera Frenkel • daniel Firman • jochen Gerz • thomas Hirschhorn • joël Hubaut • claude Lévêque • christian Marclay • guillaume Millet • olivier Mosset • gianni Motti • Orlan • christian Robert-Tissot • mathias Schweizer • niek Van de Steeg • lawrence Weiner • Yan pei-ming17 novembre – 22 décembre 2012

horsd’oeuvre collection – 17 novembre – 22 décembre 2012

L’appartement/galerie Interface est un espace d’exposition associatif qui depuis plus de 15 ans s’est lancé dans l’édition, en proposant horsd’œuvre, un journal gratuit d’art contemporain (tiré à 5000 exemplaires) distribué dans les différentes structures d’art en France.

FLATWORLD // patrick polidano

15 septembre  icon-arrow-circle-right 3 novembre 2012

De nos jours, la compréhension des mécanismes en jeu au cœur de la matière permet d’envisager des matériaux aux propriétés nouvelles : plus économes, plus légers, plus écologiques et plus petits. C’est l’ère des « nanomondes » dont les applications et les perspectives sont multiples car elles entrent dans tous les domaines de la recherche et par conséquent dans notre quotidien. L’apparition d’une technologie de plus en plus plate (écrans, téléphones, tablettes…) induit la disparition des objets technologiques. L’avènement des machines sera dans un futur proche caractérisé par leur immatérialité : présentes partout elles n’en demeureront pas moins invisibles.

l’infini mis à la portée des caniches // thomas fontaine

16 juin  icon-arrow-circle-right 21 juillet 2012

« L’homme refuse le monde tel qu’il est, et pourtant, il n’accepte pas de lui échapper. En fait les hommes tiennent au monde, et dans leur immense majorité, ils ne désirent pas le quitter. Loin de vouloir le quitter, ils souffrent au contraire de ne pas le posséder assez, étranges citoyens du monde, exilés dans leur propre patrie.

10 ans de Chancelier ! une exposition au goût de Mirande // Véronique Verstraete, Pat Bruder, Philippe Cazal, Sandra Foltz, Agnès Geoffray, Jean-François Guillon, Pierre-Yves Magerand, Jean-Marc Nicolas, Maxime Touratier, Laurent Sfar, Frédéric Buisson, Olivier Nerry.

14 avril – 26 mai 2012

Le 27 avril 2002, Interface inaugurait sa première exposition dans son second appartement situé au 12 rue chancelier de l’hospital à Dijon. À cette occasion, Frédéric Buisson et Olivier Nerry avaient souhaité rejouer les débuts de leur activité du « 104 rue de Mirande ». L’exposition appelée come back selfportaits consistait à accrocher des petits miroirs dans l’appartement. A la différence de l’exposition inaugurale d’Interface de 1995, le public était aussi invité à dessiner son autoportrait.

En 10 ans de vie dans le 2ème appartement, l’équipe d’Interface a organisé pas moins de 59 expositions et accueilli 320 artistes. Des artistes de toutes les générations se sont succédé. Leur point commun étant d’avoir pensé un projet pour cet appartement et d’y avoir parfois résidé.

surfaces limites // pierre-laurent cassière

15 février  icon-arrow-circle-right 24 mars 2012

vernissage samedi 11 février à partir de 18h

“Jouant avec les limites de la perception, les dispositifs sonores de Pierre-Laurent Cassière proposent souvent des modes d’écoute spécifiques et invitent les visiteurs à aiguiser leur attention auditive. De l’infime son jusqu’à la vibration spectaculaire, Pierre-Laurent nous entraîne dans le micro comme dans le macro sonore.”