Archives de catégorie : expositions

expositions produites par Interface à Dijon

espoir dans le placard // claire-lise petitjean & diego movilla

20 mars  icon-arrow-circle-right 23 avril 2010

Résultat d’une collaboration sans précédent entre Claire-Lise Petitjean et Diego Movilla, l’exposition Espoir dans le placard se présente comme un lieu de contact entre différentes occurrences d’images. “Celles qui témoignent du réel, celles qui le travestissent, l’embellissent ou l’effacent se confondent dans notre espace imaginaire. ”

WK8P2 et autres lieux // katharina schmidt

30 janvier  icon-arrow-circle-right  6 mars 2010

Le travail de Katharina Schmidt prend régulièrement pour point de départ l’analyse de l’aménagement d’un territoire, d’une ville ou d’un quartier. En décryptant ce nouvel environnement, l’artiste pose son regard sur des architectures remarquables (Les unités d’habitation de Le Corbusier) ou plus triviales (un centre commercial de Marseille). Sa démarche s’appuie sur une pratique du dessin et de la peinture qui embrasse des formes aussi diverses que des figures stylisées, formes géométriques issues de l’architecture ou symboles évoquant l’univers du graphisme industriel ou publicitaire.

¡Mani’fiesta ! LE MANIFESTE DE L’ABSURDITÉ CASTELLIENNE

JEUDI 22 AVRIL 2010

Mani’fiesta a débuté fin 2009 avec la découverte du travail de Joël Hubaut, concrétisée soit par une rencontre, soit par la visite de l’exposition Les ponpons de Dijon. Certains élèves ont réalisé une interview diffusée le samedi 16 décembre 2009 sur radio CultureS Dijon.

Comme dans chaque projet mené par le Lycée Le Castel et Interface, ¡Mani’fiesta ! se conclut par une restitution spectaculaire. Joël Hubaut, artiste connu, entre autres pour ses déclamations poético-provocatrices, le thème du manifeste s’est alors imposé. Ce sujet a permis de faire appel aux disciplines littéraires. Les élèves ont ainsi étudié les manifestes et formes d’écriture avant-gardistes.

les ponpons de Dijon // joël hubaut

5 décembre 2009  icon-arrow-circle-right  16 janvier 2010

Depuis 1970, Joël Hubaut place l’épidémie au centre de sa réflexion sur l’art et la société. Il s’agit d’un projet d’envahissement et de contamination par la prolifération de signes épidémik qui prolifèrent dès lors dans toutes ses productions et envahissent tous les supports dont s’empare l’artiste qu’il s’agisse d’objets, de véhicules, de corps ou d’espaces qu’il re-mix. Ce faisant l’artiste entend critiquer un ordre moral fondé sur la manipulation des comportements et le contrôle des individus(Patricia Brignonne, in. Joël Hubaut Re-mix épidémik, Esthétique de la dispersion, Les Presses du Réel, 2006, p. 56) : on nous contamine écrivait-il, on nous conditionne, on nous moule, je dois réagir aux inquisitions, aux uniformités et trouver mon propre vaccin pour faire éruption dans les rouages modélisés dominants (…) impossible pour moi de concevoir le saucissonnage et la spécialisation cloisonnée des médiums, des appareillages culturels balisés.(Joël Hubaut, in. Op.cit p. 41)

M.E.T.S. 2 // projection vidéo

MARDI 17 NOVEMBRE 2009

projection, rencontre pop-corns et lancement de M.E.T.S. 2.

mardi 17 novembre à 18h dans l’amphithéâtre de l’école nationale supérieure d’art de Dijon. Une proposition de Interface / Autour de la Terre présentée par Francisco Ruiz de Infante.

Dans le cadre du Mois du documentaire à l’Ecole Nationale Supérieure d’Art de Dijon : 3, rue Michelet – 21000 Dijon

la forme relevée – isabelle ferreira

19 septembre – 31 octobre 2009

L’exposition La forme relevée est le résultat d’un mois de recherches dans l’appartement/galerie Interface. Elle réunit des œuvres inédites produites à cette occasion. Invitée en résidence, Isabelle Ferreira est arrivée avec l’envie d’user le temps imparti comme un moment d’expérimentation et d’essais, se mettant ainsi en danger, quant au résultat final. Lors de son diplôme très remarqué en 2003, à école Nationale Supérieure des Beaux-Arts de Paris, Didier Semin avait écrit à propos d’Isabelle Ferreira, qu’elle a compris tôt que la grandeur des gestes dérisoires pouvait seule être opposée à l’indignité des gestes efficaces dont notre société ne cesse de se repaître. Relever la forme, relever l’image – qu’il soit pictural ou sculptural, le geste reste au cœur de sa pratique. Créateur de forme dans un premier temps, ce geste met en tension le matériau.