Archives de catégorie : expositions

expositions produites par Interface à Dijon

espace compris // matt mc clune & olivier soulerin

27 juin  icon-arrow-circle-right 8 août 2009

Tantôt fashion, tantôt discrète, la couleur est de toutes les occasions. Dans sa « vie plastique extérieure » 1, elle porte des coloris crues et incisives. Ces couleurs sont élaborées culturellement et chargées de codes sociaux. Elles offrent à tout instant l’opportunité de choisir sous le nom de la couleur sa façon de prendre position 2 : rouge coca cola, vert olympique lyonnais, bleu jean’s…

  1. Antoine Perrot, Couleurs à dessein – color energy : “il va falloir s’en arranger  (back)
  2. Ibidem.  (back)

M.E.T.S. 1 // Fanny Chassot, Paul Guilbert, Anne-Lise Le Gac, Lidwine Prolonge, Félix Ramon, Francisco Ruiz De Infante et Paul Souviron

27 juin  icon-arrow-circle-right 8 août 2009

Qu’est ce que les M.E.T.S ? (M.E.T.S. (nom) : Ce qui est mis sur la table. Tout aliment qui fait partie d’un repas.)

Il s’agit d’une série de cartes blanches donnée à l’association Autour de la Terre. À chaque invitation, Autour de la Terre propose un programme vidéo consultable “à la carte”, et mis en espace par des artistes : un “dispositif de monstration audiovisuelle” dans la cave de l’appartement d’Interface. Cette année, l’association programme deux “METS” (Mini-vidéothèque Ephémère, Thématique et Singulière), le premier de juin à août et le deuxième en fin d’année.

fais pas ci, fais pas ça // ateliers 2009

13 – 15 – 17 JUILLET 2009

Ces ateliers chercheront à questionner le regard de l’enfant sur la peinture et les lieux d’exposition ainsi qu’à les sensibiliser, par l’expérience, à d’autres formes de pratiques plastiques. Les enfants seront amenés à regarder l’espace, les couleurs en refaisant ou expérimentant des notions présentes dans le travail des artistes. Des bilans visuels seront régulièrement proposés aux cours des trois matinées et une présentation générale au centre Tivoli est prévue à la fin de la semaine pour conclure le projet. Tout au long de la semaine, les enfants seront invités à travailler soit de manière individuelle soit en petits groupes en fonction des ateliers, et ce afin de les amener à une pratique autonome et à l’écoute de leur propositions.

Rien à voir // olivier sévère

25 avril  icon-arrow-circle-right  30 mai 2009

sac de frappe, corde à sauter, batte de base-ball, brassards de natation, cagettes, savons,… les objets sélectionnés par Olivier Sévère nous sont familiers, et pourtant… Knock-Out (sac de frappe en marbre de carrare), Désaccordée (corde à sauter en verre moulé) et Coup Dur (batte de base-ball en verre), Submersibles (brassards de natation en bronze), En souplesse (cagettes en liège), En Mains Propres, (savons en marbre)…d’un glissement de matériau, les objets changent de noms, oublient leur fonction pour être emportés dans un ailleurs aux accents tantôt ironique, tantôt poétique.

dent may // un concert Sabotage

concert le lundi 20 avril à 18h00

Avec sa tête (à claques) de chouchou du prof de maths, Dent May, apprenti crooner, cherche à nous séduire grâce à d’adorables chansons et une arme secrète : son ukulélé. Et ça marche…

“Du fin fond du Mississipi, Dent May et son petit big band nous offrent des pop-songs orchestrales, easy-listening (façon Quincy Jones sur l’intro de “Meet Me in the Garden”) et réinventent la chanson de variété des années 50 (Sinatra et consorts) avec trois fois rien. Si, si, Dent May est un vrai tombeur.”

joanne robertson // festival Kill your pop #6

SAMEDI 4 AVRIL 2009

festival KILL YOUR POP (6ème édition / du 4 au 11 avril 2009)

Ancienne étudiante des beaux-arts de Glasgow, où elle était plus attirée par le côté plastique, Joanne Robertson fonda rapidement un groupe avec comme camarades ceux qui n’étaient pas encore connus sous le nom de Franz Ferdinand. L’aventure ne dura pas et la jeune Anglaise décida de se lancer dans une carrière solo avec ce premier album, “The Lighter”.

 

C’ÉTAIT HIER // emmanuelle castellan

07 FÉVRIER  icon-arrow-circle-right  21 MARS 2009

Image, couleur, lumière définissent les spécificités de la peinture. Sur toile, sur mur ou papier, Emmanuelle Castellan explore les « espaces de la peinture » en prenant en compte les champs de la représentation, de la matérialité et de l’immatérialité que présuppose ce médium.

“Travaillées au mur, mes peintures sont considérées comme des écrans, elles sont des projections qui ont en mémoire leur propre disparition.(…) La disparition est déjà inscrite dans l’acte de peindre. (..) Je cherche à saisir des choses, parfois tout à fait périphériques, qui m’ont cependant imprégnées.(..). Finalement, il ne me semble pas épuiser l’image mais plutôt la faire basculer ailleurs.”

Extrait de l’entretien entre E.Castellan, Brigit Meunier et Martine Michard en mai 2008