Archives de catégorie : expositions

expositions produites par Interface à Dijon

paradoxe du trésor // guillaume constantin & raphaël zarka

6 décembre 2008  icon-arrow-circle-right on-arrow-circle-right17 janvier 2009

Les deux artistes, amis dans la vie exposent aussi régulièrement ensemble. Leurs conversations orientent leurs recherches, leurs références et imprègnent leurs oeuvres de points communs. Cette exposition fait suite à un projet spécifique, … / … qui se tient chez Cardenas Bellanger à Paris, où Guillaume Constantin & Raphaël Zarka explorent leur intérêt commun pour les textes de Roger Caillois. Paradoxe du trésor, titre d’un texte issu de “Cases d’un échiquier” (1970), propose un ensemble inédit de travaux des deux artistes choisis par Guillaume Constantin.

interupture // isabelle ménétrier

13 septembre  icon-arrow-circle-right 25 octobre 2008

Interface : n. f. Une interface est une zone, réelle ou virtuelle qui sépare deux éléments. L’interface désigne ainsi ce que chaque élément a besoin de connaître de l’autre pour pouvoir fonctionner correctement.

J’interroge la matière et son énergie tant dans les propositions dites “artistiques” que celles dites de design et leur éventuelle fabrication industrielle. Je questionne également la place du public tant dans son engagement physique et sensible, qu’intellectuel. Si mes préoccupations actuelles s’articulent autour de la notion d’espace, il est bien évident qu’elles me conduisent inévitablement à l’individu, à nos façons d’habiter l’espace, de l’encombrer, d’y circuler, de s’y rencontrer… Un projet nommé “b-attitude(s)” tente de rassembler certaines de ces notions. Il s’agit d’un module que j’appelle “petit b” puisqu’il a la forme d’un petit b, mais aussi d’un petit p, d’un petit q, d’un petit d. Utilisé seul ou combiné, ce module peut devenir tour à tour étagères, assises, espace de réunion…

Isabelle Ménétier

PMMP* // niek van de steeg

07 JUIN  icon-arrow-circle-right 26 JUILLET 2008

Depuis une vingtaine d’années, Niek Van de Steeg travaille à partir de sujets aussi variés que l’abandon des usines Renault sur L’île Seguin en 1989, la réalisation du Marché Commun de l’Europe des Douze en 1992, un Pigeonnier dans un parc public à Jinan en Chine en 2004, une agence de publicité, Le Dojo, à Nice en 2006, ou un Centre d’Art dans un immeuble Écran à Saint Fons en 2007.

faudra qu’on en discute demain matin // Julien Cedran, Jean-Philippe Convert, Nolwenn Dequiedt, Dialogist-Kantor, Lise Duclaux, Jérôme Giller et Emmanuel Tête

29 mars icon-arrow-circle-right 10 mai 2008

L’exposition faudra qu’on en discute demain matin organisée par Troisième-Etage à Interface, propose une sélection d’artistes vivant et travaillant à Bruxelles, qui s’inscrivent dans une praxis de l’art en rupture avec la représentation artistique. Dépassement du cadre de la représentation, détournement des supports, utilisation de l’affiche, de la performance ; c’est au nom d’une esthétique opérante, en lien avec la vie et la société, que les artistes présents à l’exposition agissent. Esthétique opérante qui repense la place de l’art dans la société, son usage et son rôle, et invite le spectateur à prendre part à la création. L’art est pour ces artistes le principe fondateur d’une communauté de vie basée sur l’échange, le partage, l’écoute et le dialogue, comme le rappelle le titre de l’exposition.

Entre poire et fromage #1 // sophie pouderoux, antoine renard, julien munschi & léa lebricomte, lucie mercadal, leï yang, marie aerts, malo hotrell

16 mai icon-arrow-circle-right  23 mai 2008

C’est la première fois que nous invitons des artistes encore étudiants. Cette exposition est une initiative portée par l’école nationale supérieure d’art de Dijon et Interface. Pour cet évènement un peu spécial, nous avons souhaité travailler avec un enseignant de l’école. Aussi, en concertation avec Lydie Jean-Dit-Pannel, vidéaste, nous invitons :

Sophie Pouderoux • Antoine Renard • Julien Munschi

championnat international de lancer de chaises // Lycée Le Castel

6 MAI 2008

Le projet porte sur la question de l’acte quotidien considéré comme une performance.

En déplaçant le regard porté sur l’acte ou sur l’objet, en changeant le point de vue (culturel, utilitaire, prosaïque,…), il devient alors possible de construire une relation nouvelle aux choses et de modifier nos comportements en faisant de ceux-ci (choses et comportements) les signes d’une expression artistique dans ce qu’elle pourrait avoir de plus anodin ou imperceptible. Prendre conscience que les variations infimes sur lesquelles repose notre perception peuvent nous plonger d’un univers à un autre sans que l’on y prenne garde.

U.F.O // vincent carlier

10 novembre 07 – 07 janvier 08

Vidéos de Jackass, records du monde de plus en plus extrêmes, exploits physiques et sportifs décuplés, aujourd’hui la performance se multiplie, elle est partout et toujours plus spectaculaire. Vincent Carlier, jeune artiste dijonnais, est parti de cette observation pour détourner et repenser la performance. En effaçant l’acte au profit d’indices ou d’objets identifiés comme preuve, son travail échappe à la logique de spectacles.