Archives de catégorie : expositions

expositions produites par Interface à Dijon

marc couturier

20 octobre – 30 novembre 2002

Marc Couturier investit jusqu’au 30 novembre 2002 l’appartement galerie Interface, il réalise pour l’occasion une exposition au parfum définitivement poétique. L’art de Marc Couturier est empreint d’une légèreté qui laisse le visiteur face à des œuvres flottantes, qui expriment d’autant plus qu’elles sont souvent faites de peu de chose. « L’art c’est apprendre à voir », les œuvres exposées à Interface nous le racontent, l’artiste nous ouvre en grand les voies de l’imaginaire par le regard. Sa Barque virtuelle, embarcation navigant sur une ligne de flottaison aérienne nous invite dès l’entrée au voyage, à la fuite, à la découverte d’une œuvre sensible.

Clé de sol // jocelyn saint andré

7 septembre  icon-arrow-circle-right  5 octobre 2002

Dès l’origine, l’œuvre d’art re-présente le réel et elle n’a jamais vraiment quitté cette identité, même lorsqu’elle a mis en cause la figuration. C’est seulement alors le mode de re-présentation qui a changé. Le réel est resté le seul référent de l’œuvre, qu’il s’agisse de la couleur ou de la peinture dans sa matérialité, de l’objet dans son installation ou des procédures et protocoles de l’artiste. L’œuvre double en quelque sorte le réel et ainsi s’en distancie, comme si elle était, si peu que ce soit, un peu moins réelle que lui : elle est l’occasion d’une distance critique où s’enracine son sens.

Dans ce contexte, l’empreinte est davantage encore porteuse de cette aptitude à redoubler le réel que l’image : en redoublant aussi l’échelle et la matière de son référent, elle s’installe comme dans un peu plus d’inutilité face au réel, un peu moins de légitimité à lui appartenir à part entière.

rémi uchéda, marie maillard & rémi regazzoni

8 JUIN   icon-arrow-circle-right 27 JUILLET 2002

Après COMEBACK, l’exposition qui marqua le retour d’Interface avec un nouvel espace d’expositions et l’édition du catalogue raisonné des 5 ans d’expositions du premier lieu au 104, rue de Mirande : nous invitons pour l’été 3 jeunes artistes représentatifs de notre volonté critique d’une programmation complémentaire aux milieux institutionnels et marchands de l’art contemporain en France.

sandra foltz & laurent sfar // LES BOUSILLÉS

9 décembre 2000  28 janvier 2001

Le terme bousillés fait écho aux objets en verre réalisés par les ouvriers de Sars-Poteries (département du Nord-pas-de-calais) à l’époque industrielle (1802 – 1937). Ces réalisations étaient effectuées durant les heures de pause à l’aide des excédents de verre (les bousillés) de la production industrielle. Ces pièces donnèrent lieu à des réalisations très décoratives mais également revendicatives, témoin des différents moments et des conditions de travail de la vie ouvrière. Principalement dédiés à un usage personnel, ces objets furent occasionnellement vendus afin d’aider un ouvrier malade, instaurant ainsi un marché parallèle.

didier trenet / Supervues 015

18  20 décembre 2015

Hôtel Burrhus  1 place Montfort • 84110 Vaison la Romaine

ven. 18., sam. 19. et dim. 20 décembre 2015
ven. de 18h à 21h • sam. de 11h à  21h • dim. de 11h à 18h

Pour cette édition 2015 de Supervues, Interface invite l’artiste Didier Trenet à habiter non pas l’appartement, mais la chambre n°35 de l’Hôtel Burrhus.

 

benedetto bufalino // Supervues 014

12   14 DECEMBRE 2014

L’hôtel Burrhus, hôtel atypique au cœur de Vaison-la-Romaine, est doté de 35 chambres, chacune d’entre elles possédant des dimensions, un mobilier et une atmosphère unique. Depuis 2007, le second week-end de décembre, l’hôtel Burrhus invite des institutions, centres d’art, lieux d’art contemporain, galeries, à réfléchir et à participer à la programmation de Supervues en  proposant à un artiste d’investir l’une des chambres de l’hôtel.

Cette année, nous avons invité Benedetto Bufalino.

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thomas fontaine // Supervues 012

DU 14 – 16 DÉCEMBRE 2012

Pour SUPERVUES 012, nous proposons le travail de Thomas Fontaine.

Courant décembre, l’hôtel Burrhus affiche complet afin d’accueillir artistes, galeries, centres d’art, collectionneurs et associations en prenant les allures d’une mini-foire d’art contemporain, Supervues. Environ trente-cinq artistes sont sélectionnés afin de montrer ou de faire découvrir leur travail. Chacun dispose d’une chambre tirée au sort et numérotée, avec l’opportunité d’habiter le lieu comme il le souhaite. Seule contrainte : garder le lit afin qu’il puisse être logé dans l’hôtel. Une « carte blanche », une occasion de métamorphoser une partie de notre quotidien et de séjourner dans l’intimité d’une œuvre d’art. La complexité des rapports entre la création et l’espace domestique se dévoile.