Ces ateliers chercheront à questionner le regard de l’enfant sur la peinture et les lieux d’exposition ainsi qu’à les sensibiliser, par l’expérience, à d’autres formes de pratiques plastiques. Les enfants seront amenés à regarder l’espace, les couleurs en refaisant ou expérimentant des notions présentes dans le travail des artistes. Des bilans visuels seront régulièrement proposés aux cours des trois matinées et une présentation générale au centre Tivoli est prévue à la fin de la semaine pour conclure le projet. Tout au long de la semaine, les enfants seront invités à travailler soit de manière individuelle soit en petits groupes en fonction des ateliers, et ce afin de les amener à une pratique autonome et à l’écoute de leur propositions.
Avec sa tête (à claques) de chouchou du prof de maths, Dent May, apprenti crooner, cherche à nous séduire grâce à d’adorables chansons et une arme secrète : son ukulélé. Et ça marche…
“Du fin fond du Mississipi, Dent May et son petit big band nous offrent des pop-songs orchestrales, easy-listening (façon Quincy Jones sur l’intro de “Meet Me in the Garden”) et réinventent la chanson de variété des années 50 (Sinatra et consorts) avec trois fois rien. Si, si, Dent May est un vrai tombeur.”
festival KILL YOUR POP (6ème édition / du 4 au 11 avril 2009)
Ancienne étudiante des beaux-arts de Glasgow, où elle était plus attirée par le côté plastique, Joanne Robertson fonda rapidement un groupe avec comme camarades ceux qui n’étaient pas encore connus sous le nom de Franz Ferdinand. L’aventure ne dura pas et la jeune Anglaise décida de se lancer dans une carrière solo avec ce premier album, “The Lighter”.
Le projet porte sur la question de l’acte quotidien considéré comme une performance.
En déplaçant le regard porté sur l’acte ou sur l’objet, en changeant le point de vue (culturel, utilitaire, prosaïque,…), il devient alors possible de construire une relation nouvelle aux choses et de modifier nos comportements en faisant de ceux-ci (choses et comportements) les signes d’une expression artistique dans ce qu’elle pourrait avoir de plus anodin ou imperceptible. Prendre conscience que les variations infimes sur lesquelles repose notre perception peuvent nous plonger d’un univers à un autre sans que l’on y prenne garde.
Brian Straw Jeune artiste américain installé aujourd’hui à Cleveland, Brian Straw est déjà un habitué des salles de concerts où il a partagé la scène avec Calexico, the Black Heart Procession, Andrew Bird et Devendra Banhart. Son dernier opus, pas encore distribué, n’est pas sans rappe- ler les ballades intimistes torturées d’un certain Nick Cave. Invité au dernier festival Soy de Nantes, il possède sans conteste la force et l’in- tensité vocale du mythique Leonard Cohen.
En 2007, trois établissements se sont rassemblés pour poser à travers la confrontation et la rencontre de l’autre, la question de l’identité individuelle et culturelle. Au cours d’un après midi performance, puis dans le cadre de l’exposition à Interface des travaux réalisés pendant l’année, les élèves ont confronté leurs différentes pratiques artistiques, supports d’expression de leur identité.
La découverte de la démarche singulière de Latifa Echakhch, plasticienne d’origine marocaine qui travaille, entre autres sur cette thématique, et le dialogue avec l’artiste a donné toute la dimension du projet “le monde est petit”
Le projet fut mené avec deux classes de troisième (du collège des Lentillères et du collège André Malraux) et une classe de lycée (du lycée Le Castel).
Les enseignants ayant participé au projet sont Blandine David, Corinne Journo et Jean Clerc.
Hôtel Burrhus • 1 place Montfort • 84110 Vaison la Romaine
ven. 18., sam. 19. et dim. 20 décembre 2015
ven. de 18h à 21h • sam. de 11h à 21h • dim. de 11h à 18h
Pour cette édition 2015 de Supervues, Interface invite l’artiste Didier Trenet à habiter non pas l’appartement, mais la chambre n°35 de l’Hôtel Burrhus.
L’hôtel Burrhus, hôtel atypique au cœur de Vaison-la-Romaine, est doté de 35 chambres, chacune d’entre elles possédant des dimensions, un mobilier et une atmosphère unique. Depuis 2007, le second week-end de décembre, l’hôtel Burrhus invite des institutions, centres d’art, lieux d’art contemporain, galeries, à réfléchir et à participer à la programmation de Supervues en proposant à un artiste d’investir l’une des chambres de l’hôtel.
Cette année, nous avons invité Benedetto Bufalino.