restitution – mardi 30 avril à 17h30 ouvert jusqu’au 3 mai, les jeudis et vendredi de 14h à 18h
Il s’agit d’un projet d’éducation artistique et culturelle initié et financé par la ville de Dijon, en partenariat avec l’Education Nationale, porté par Interface et mené par Pauline Mure avec l’école élémentaire Château de Pouilly.
Le projet Brûler les planches réunit deux artistes, Mona Rocher et Clémentine Lecointe, accompagnées d’Interface, dans le cadre des résidences “Artistes plasticiennes au lycée” initiées et financées par la Région Bourgogne-Franche-Comté. Les artistes sont respectivement accueillies dans deux lycées nivernais, le Lycée Agricole de Challuy pour Mona Rocher et le Lycée Pierre Bérégovoy pour Clémentine Lecointe. Le projet est accueilli au sein des établissements par les enseignants Benoit Tiphaine et Fanny Torres.
Brûler les planches– une proposition de Clémentine Lecointe et Mona Rocher détails sur le blog
Faire cabane, cherche à interroger les codes de l’habitat. Au travers de dessins, maquettes puis de constructions grandeur réelle, les élèves seront amenés à développer une sorte d’alphabet de cabanes et de modules, permettant de Faire cabane dans des situations aussi variées qu’originales. Comment faire plus avec moins ? De quoi avons-nous réellement besoin ? Comment être à l’écoute des autres et de ce qui nous entoure ? Autant de questions que le projet permettra de soulever.
Il s’agit d’un projet d’éducation artistique et culturelle initié et financé par la ville de Dijon, en partenariat avec l’Education Nationale, porté par Interface et mené par Andréa Spartà avec l’école élémentaire Mansart.
La représentation du paysage sous forme cartographique fut le fil conducteur de la résidence “woooow”. Avec les élèves, Diane Blondeau et Tom Giampieri ont développé une pratique du dessin, de l’écoute et de la sérigraphie.
Il s’agit d’un projet d’éducation artistique et culturelle initié et financé par la ville de Dijon, porté par Interface et mené par Diane Blondeau avec l’école élémentaire Montmuzard.
Du bout du monde a pris pour point de départ la découverte de la culture japonaise. L’artiste actualise les codes artistiques orientaux et les questionne à travers sa peinture. Dans les ateliers de recherche proposés à partir de techniques venues d’Orient (encre, peinture sur soie, monotypes, haïkus), les élèves ont pu s’initier à l’art contemporain et faire naître leurs propres créations.
Il s’agit d’un projet d’éducation artistique et culturelle initié et financé par la ville de Dijon, porté par Interface et mené par Hugo Capron avec l’école élémentaire Drapeau.