21 mars 19 avril 1997
Phos Graphin signifie littéralement “écriture de lumière”. C’est sur une nouvelle approche de l’image à travers une réflexion guidée par cette origine étymologique que se centre le travail de Maxime Touratier. Elle porte à la fois sur un questionnement du langage et du médium photographique, qui se fonde sur une idée simple : la lumière est la matière et en tant que matière peut-être modulée, contrainte, sculptée. Il en résulte que la photographie comme moyen pour capter la lumière et la traduire en image., doit alors échapper et dépasser les normes et les cadres stéréotypés imposés par son utilisation commerciale, aussi bien dans sa forme que par son fond.
Pierre Larive, Ruche BA10, 2014-2015.
Plaques de plâtre, cire d’abeille, fil de fer, clou, dimension variable.
Ruche BA13, 2014-2015.
Plaques de plâtre, cire d’abeille, fil de fer, clou, dimension variable.
Marianna Capuano, Santissima Annunziata, Italie, 2014.
Tirage pigmentaire jet d’encre, contrecollé sur dibond, 80 cm x 53 cm
Plafond de cellier, 2014, tirage pigmentaire jet d’encre, contrecollé sur dibond, 80 cm x 53 cm
Intérieur inhabité de la maison, 2014, tirage pigmentaire jet d’encre, contrecollé sur dibond, 80 cm x 53 cm
Shin-Yu Liao, Cheminement n°1, 2015.
Image imprimée sur papier divers (calque,
papier coloré), dimension variable
Hugo Capron, Fac-similé, 2015.
Acrylique sur toile, installation in-situ, 200 x 300 cm et 370 x 200 cm